Concours de Poésie - remise des prix
Palmarès du concours de poésie du lycée Georges-Pompidou
L’éminent jury du concours de poésie du lycée Georges-Pompidou a rendu son verdict dans les tourments habituels : il n’est guère aisé de départager les talents, d’autant que, cette année encore, chez les lycéens comme chez les adultes, les textes de qualité ont foisonné.
Mais la part de subjectivité qui préside à toute approche d’ordre esthétique fait que, selon que prédomine chez un jury une inclination pour une écriture plutôt classique, ou à l’inverse pour une écriture plutôt moderne, un goût pour les élans lyriques ou plutôt pour le souffle épique, un poème où fleurissent les qualités peut ne pas être estimé à sa juste valeur.
Donc, ne pas être primé ne signifie pas être dépourvu de talent. Chez nos lycéens par exemple, les trois premiers se suivent à deux points, et de nombreux autres ne sont pas loin derrière. C’est pourquoi nous vous invitons, jeunes et adultes, à multiplier vos participations à d’autres concours : la reconnaissance de vos mérites ne manquera pas de se faire jour.
Aimer la poésie, c’est déjà un talent en soi. Et songez qu’André Gide refusa un manuscrit de Marcel Proust pour la NRF : c’était le futur Du côté de chez Swann ...
Le palmarès du concours des lycéens s’établit comme suit :
Premier prix attribué à Valentin Graziano, élève de PSCI 3 au lycée Joffre,
pour son poème Battement d’elle.
Deuxième prix attribué à Marc Giordano, élève de TG 1 au lycée de Nevers,
pour son poème Les rêves perdus.
Troisième prix attribué à Raphaël Perrot, élève de PSI au lycée Joffre,
pour son poème Serment d’écume.
Pour les adultes :
Premier prix attribué à Jean-Marie Leclercq
pour son poème Au bord du temps.
Deuxième prix attribué à Jean-Luc Bousquet
pour son poème Enfance.
Troisième prix attribué à Jean-Marie Leclercq
pour son poème Au classique éternel.
La remise des prix aura lieu au CDI du lycée, 351 Av. de Lattre de Tassigny à Castelnau-le-Lez,
le lundi 30 juin à 15 heures.
Merci encore à tous de votre participation, et continuez à taquiner la Muse, elle aime bien ça.